Tout d'abord, première erreur, le pape ne prêche pas le devoir qui nous incombe de suivre notre conscience, erronée ou non, mais il définit ce que nous, en tant que catholiques, devons faire: à savoir encourager chacun à suivre sa conscience. Est-ce ainsi que vous concevez l'apostolat catholique?
Seconde erreur, il prétend que notre monde serait meilleur si les hommes suivaient leur conscience. Or, la conscience morale actuelle est largement dominée par l'idéologie libérale issue de la perversité talmudique et des loges. Que vous le voulez ou non, le pape soutient donc, par cette phrase, que le monde pourrait devenir meilleur si les victimes du libéralisme en assumaient encore plus pleinement les principes.
La cohérence d'ensemble de cette double erreur procède tout simplement de l'abandon par l'Eglise conciliaire de la royauté sociale du Christ qui députe tout catholique à la défense de la cité catholique, c'est à dire, au devoir pour tout catholique de combattre pour la vérité qui est Jésus Christ ( et non pour encourager chacune et chacun à suivre sa conscience) afin qu'elle irrigue autant les âmes que l'organisation politique de la cité, de manière à construire un monde meilleur( qui ne peut évidemment pas résulter de l'expression des consciences erronées dressées par les loges et la nébuleuse talmudique depuis 200 ans à se détourner du Christ et de son Eglise). C'est ainsi que fait sens l'autre ignominie du message du pape François dans laquelle il manifeste son écœurement pour le prosélytisme. Car en effet, si le catholique a pour mission d'encourager chacun à suivre sa conscience, s'il en résultera un monde meilleur, à quoi bon le zèle missionnaire?
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