Voici ce que je vous répondrai pour ma part, en suivant ce qu'un évêque disait au concile en 1964...
La liberté est une qualité relative et non absolue. Elle est bonne ou mauvaise selon qu’elle tend au bien ou au mal.
Il faut bien distinguer, parmi les actes divers de la conscience, les actes intérieurs de la religion et les actes extérieurs, car ces actes extérieurs peuvent ou édifier ou scandaliser.
Le "droit" à suivre la voix de sa conscience tel que la formule François Ier, et d’agir extérieurement selon cette voix est donc problématique, voire dangereux.
En effet, une doctrine religieuse influence logiquement toute la morale.
Qui ne voit les innombrables conséquences en cet ordre de choses ? Et qui pourra déterminer le critère du bien et du mal, quand on a délaissé le critère de moralité selon la vérité catholique révélée par le Christ ?
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