En droit canon, la seule condition préalable pour un exorcisme par un prêtre catholique c'est le consentement du bénéficiaire, si celui-ci est conscient! Donc impossibilité que les divers prêtres argentins aient dû réclamer une autorisation écrite de Rome, même si aucun d'eux n'avait été nommé exorciste de l'archidiocèse: l'autorisation relevait seulement de Mgr BERGOGLIO! Est-ce que les divers prêtres contactés par la pauvre maman ne lui avaient pas tout simplement menti, pour se débarrasser d'une tâche ressentie comme éprouvante et même contraire à leur refus de croire à l'existence de diable?
===> En tout cas, le card BERGOGLIO, en encourageant ce pasteur luthérien à pratiquer un exorcisme, a affirmé la validité de cette action, par analogie avec celle d'un baptême protestant selon la Confession d'Augsbourg, qui n'a pas lieu d'être réitéré au sein de l'unique Église Catholique! (il y a un épisode identique dans Saint Luc, au sujet de "ceux qui chassent les démons sans faire partie de notre groupe")
===> ? de l'attitude ultérieure du Cardinal, de ne pas inviter clairement et doucement cette pauvre maman comme ce brave pasteur évangélique à reprendre une vie sacramentelle plus riche et complète dans l'unique église de Jésus-Christ ?

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