Puisque vous insistez et que vous ajoutez maintenant la menace à l'insulte, je vous réponds...
Je vous répète que je ne comprends pas un tel déferlement de hargne. Il faut croire qu'on gratte chez vous une corde bien sensible pour que vous en arriviez à péter les plombs de la sorte...
Je ne me suis jamais permis de vous interpeller sur le FC ni sur Fecit, et encore moins de vous injurier, car je pensais vraiment, jusqu'à hier soir, que vous étiez quelqu'un de bien. Si je me suis permis de soutenir M. Perrin dans ce fil, c'est parce que je trouvais votre propos excessif et injuste. J'ai toujours refusé de vous mettre dans le même sac que certains trolls qui errent périodiquement ici ou ailleurs, en revenant d'ailleurs en douce avec de nouveaux pseudos, car je croyais sincèrement que vous étiez un homme intelligent. Je croyais l'avoir vérifié dans beaucoup de vos posts.
Je m'aperçois que je n'avais pas saisi toute la complexité de votre personnage.
Non seulement vous êtes un malpoli, mais vous êtes de surcroît un authentique caractériel. Un mégalo assez archétypique qui s'imagine pouvoir insulter tout le monde et distribuer des brevets de moralité ecclésiale sous le pauvre prétexte qu'il anime un petit blog et qu'il a une petite parcelle d'audience dans le milieu.
Luc Perrin, lui, écrit des livres et des articles qui, ne vous en déplaise, sont des références lorsque l'on étudie la crise de l'Eglise depuis 40 ans.
Cela lui confère le droit et la légitimité d'émettre des avis qui, pour manier l'euphémisme, valent les vôtres.
Vous pouvez donc garder pour vous vos insultes navrantes et vos menaces risibles.
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D'avance, merci !