A chaud : je l'avoue j'ai été consterné en entendant le nom de l'élu.
Tous mes espoirs, tous les espoirs caressés par nos milieux m'ont semblé s'effondrer...
Mais qui c'est, est-ce si mauvais ? Les desseins de la Providence sont impénétrables. A vue humaine je n'ai plus l'espoir, c'est vrai, qu'aurait représenté un cardinal Ranjith.
Mais voilà, tout est peut-être là, il ne s'agissait que d' espoirs à vue humaine, trop humaine. Désormais il ne me reste plus, il ne nous reste plus, que l'Espérance surnaturelle dans l'indéfectibilité de l'Eglise. Et sur ce plan, est-ce une pire nouvelle que celle de l'élection d'un pape plus conservateur ?
Je note un point qui semble récurrent au milieu de toutes les inquiétudes que semble susciter le nouveau pape, dans le tableau qu'on en brosse : il semble s'agir d'un ascète, homme de prière, ayant une véritable vie intérieure. Or Dieu ne peut abandonner un homme qui prie. Il l'éclaire, le guide, le dirige et s'en sert comme d'un instrument docile dans ses desseins éternels. A bien plus forte raison s'il est à la tête de l'Eglise.
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