On sait la discipline de fer que bruno Leroux impose aux députés de son groupe alors que l'existence d'un parlement supposerait qu'iln'y ait pas de mandat impératif.


Grégoire boucher faisait allusion à des pressions exercées sur les députés de droite (dont le meilleur défenseur, mais ça n'engage que moi est Marc le fur, sur la longueur. C'est d'ailleurs un député qui me paraît très honnête et, ayant vécu un veuvage prématuré, en tant que père de famille nombreuse, ça doit le rendre sensible à toutes ces réalités, bien qu'il sache les énoncer de manière souriante).


Désolé, mais la cause ne justifie pas qu'on traite "les données personnelles" avec autant de légèreté.


De plus, quand on est journaliste, on ne colporte pas des informations qui sont à ce point imprécises, et toute cette émission n'a été qu'une suite d'imprécisions, jusqu'à l'intervention du Père Michel viot, qui devrait mieux étudier ses dossiers avant de s'engager dans des diatribes de colloque. Car ce qui a tant ralenti l'examen de l'article 4, c'est précisément que les vocables de "père" et de "mère" n'aient pas étés supprimée du code civil au profit de celui de "parents", contrairement à ce que le Père viot a affirmé, et au risque de mettre les officiers d'état civil dans l'embarras, dans la rédaction de leurs actes, des livrets de famille, etc. La solution de la commission des lois, ne voulant pas que l'on supprime ces mentions, a été retenue, et non celle du gouvernement.

Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel. Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici. D'avance, merci !