Merci John L de votre analyse, auquel je souscris complètement.

Concernant Monseigneur FELLAY, et sans disposer d'un privilège d'infaillibilité, est-il nécessaire de rappeler que:
- Oui, s'agissant de Vatican II, on peut valablement envisager de parler "d'erreurs romaines" qui vont de l'ambiguïté à l'opposition à la doctrine traditionnelle.
- Oui, on on peut envisager la remise en cause (partielle ou non)de de certains votés par les pères conciliaires et promulgués par le Pape.

En effet, par la promulgation des textes conciliaires Paul VI n'a pas engagé son privilège personnel d'infaillibilité,il confirmera d'ailleurs le caractère pastoral du concile dans un discours du 12 janvier 1966.
Dès lors les textes conciliaires sont réformables, il n'est pas illégitime de se poser la question de leur continuité et/ou discontinuité avec la doctrine traditionnelle.

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