Merci, Véronique(Lala), de nous raconter ces instants de grâces.

Je me souviens d'un prêtre tout rhumatisant qui disait une messe le samedi soir et deux le dimanche matin dans deux églises différentes, un prêtre aujourd'hui au Ciel qui régulièrement lors de ces sermons, disait, par exemple, "nous avons tel défaut à l'égard de Dieu" et ajoutais systématiquement "moi le premier"... Cette humilité m'avait bouleversé, ce n'était pas donneur de leçons comme j'ai souvent eu l'occasion de le ressentir.

Et de toutes les messes (NOM!) de ce prêtre auxquelles j'ai assisté, je ressortais bien, en paix (à la différence de beaucoup d'autres messes NOM et VOM que j'ai par contre subi, c'est triste à écrire alors que Jésus-Hostie était pourtant présent mais tout le bazar environnant ne m'aidait pas, loin s'en faut à L'honorer et Le prier).

Le célébrant a réellement un rôle majeur, pourvu qu'il ait, je pense, pleinement conscience d'être "en la personne du Christ".

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