Ces mots ne sont en rien un jugement envers les prêtres ou d’autres personnes, au contraire, c’est pour les remettre sur le droit chemin, répondant à l’amour et à la vérité, et dans l’espoir que cela sera connu des autorités de l’Eglise Catholique.
Un homme, catholique, marié devant Dieu, est victime d’un divorce voulu par son épouse (pour des bêtises non fondées).
Deux ans à peine après cet évènement terrible, il rencontre une autre femme, divorcée également.
Ils décident de se marier.
Aucun certificat d’annulation de mariage n’est demandé à l’Eglise Catholique malgré mes doux, sages et respectueux conseils.
Le mariage a eu lieu à la mairie et, ils reçoivent avant cela la bénédiction d’un prêtre, non pas dans une église (le prêtre devait savoir qu’il faisait mal alors ?) mais dans une maison appartenant à la paroisse.
Non seulement mon ami est toujours marié aux yeux de Dieu, mais en plus il reçoit une autre bénédiction d’un prêtre pour son futur bonheur nuptial avec sa deuxième [« fausse »] (j’ose le dire) femme.
Alors je me pose une question : avons-nous toujours une conscience ?
Les applaudissements à la mairie étaient bruyants.
Tous étaient très heureux de voir s’unir deux êtres.
Certainement, mais avec l’esprit du monde qui fait ce qu’il veut, enfin… ce que l’esprit du mal leur incite de faire.
Nous n’avons plus de conscience, elle ne travaille donc plus, et de ce fait nous ne pouvons plus prendre de bonnes et sages décisions, notamment celles de mettre en pratique la parole de Dieu.
Même certains prêtres font ce qu’ils veulent, et n’obéissent plus à la doctrine de l’Eglise.
Alors à qui faire confiance ?
Comment ne pas être pris de la sainte colère contre le mal qui fait de nos âmes des marionnettes qu’il agite comme il l’entend ?
Comment ne pas réagir ainsi, voyant nos propres amis en être les victimes ?
Comment ne pas être triste de compassion avec Dieu devant ceux qui lui disent « oui », mais que ce oui n’est pas vécu jusqu’à l’extrême de l’amour et de la vérité ?
Devons-nous nous taire, ce qui voudrait dire que nous adhérons à ces erreurs et mensonges… ?
Ou bien, pouvons-nous seulement en parler, en témoigner, sans juger les personnes bien sûr, mais uniquement pour éveiller les consciences, pour les ramener vers le droit chemin ?
Nous commençons à ne plus savoir, à douter, à se taire et prier… ou alors à témoigner et crier notre amour pour la vérité laissant Dieu à la première place.
En union de prière fraternelle pour la vérité
Véronique
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