Le prêtre se confesse à l'évêque
Je crains que vous ne connaissiez pas bien les pratiques du clergé : jamais un évêque n'accepte de confesser un prêtre sur lequel il a autorité : il y aurait effectivement confusion entre le naturel et le surnaturel, et conflit de devoirs...
En fait, cet exemple n'existe pas (ou ne devrait pas !). Un supérieur ne confesse pas ceux sur lesquels il a autorité temporelle (cela vaut aussi,
mutatis mutandis pour un directeur d'école, de séminaire, etc.)
Ainsi, le supérieur est bien libre de prendre les mesures disciplinaires nécessaires en cas de besoin, quand il a une information (qui ne vient pas du secret de confession, qui reste toujours inviolable).
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !