Que faire s'il y a des enfants et que le "compagnon" n'accepte pas le changement de vie demandé ? Sans compter que la cohabitation n'était pas un péché puisque la personne, non baptisée, ne pouvait se marier à l'Eglise (on comprend que le partenaire n'est pas baptisé non plus, ou qu'il s'en fiche).

Si la situation ci-dessus préexiste au baptême, peut-on parler de relation peccamineuse si elle se poursuit, à partir du moment où la personne baptisée la subit pour le bien de ses enfants et ne la recherche pas pour elle-même ?

Si la réponse est positive, alors oui, il faut tout quitter pour Dieu, mais je pense qu'il y a une différence entre une situation héritée d'une vie païenne et une situation recherchée. La situation a bien dû se produire du temps des premiers chrétiens. Une femme demandant le baptême devait-elle attendre la conversion de son païen de mari ?

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