et pourtant le problème c'est bien qu'on puisse aujourd'hui "faire son marché" entre Paul VI-Jean-Paul II-Benoît XVI et François-Kasper.
Qui peut trancher ?
Dans notre apostolat laïc vis à vis des nombreuses personnes impliquées par le problème des divorcés remariés catholiques(les couples eux-mêmes ou leurs enfants, surtout leurs enfants) ,ça devient difficile. les séparés qui veulent rester fidèles vivent le débat douloureusement (c'est un peu comme lorsqu'on se met à discuter en priorité avec les musulmans en "oubliant" les massacres de chrétiens). Et les couples encore formés qui vivent des situations très difficiles et qui tiennent comme ils peuvent, l'interdit est un puissant soutient dans les passages difficiles. où est la miséricorde ?
il me semble que le risque de "discréditer son prédécesseur" est annexe à la défense du mariage et de ceux qui veulent sérieusement se mettre sous son "doux joug". Est-ce que l'enseignement de la loi de la gradualité ne discrédite pas son interdiction par les papes antérieurs ?
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