Dieu permet, l'envahisseur est là pour faire le boulot que Dieu veut : pour nous nettoyer.


En médecine :

il s'étudie en ce moment que : les virus-bactéries-micro-organismes viennent aider notre corps à sortir de sa maladie. Ils sont des nettoyeurs, provocateurs, pour purifier ce qui était là et n'allait pas.

Dans toutes les épidémies, il y a des gens malades et d'autres non. Ce n'est pas le virus qui agit, mécaniquement. IL cible, ou même disent ces études, il répond à un organisme qui le demande. C'est ainsi qu'on parle, prophétisant sans le savoir, d'une bonne grippe, qui force au repos, et permet le retour sur son mode de vie trop serré : cela grippe...

Ainsi les plaies que les anciens nettoyaient en y posant des vers pour enlever les pourritures. Les vers n'avaient pas causé la plaie, pas plus que le thermomètre ne cause la température.

On commence à relier les administrations de substances et les déclenchement de bronchyolites chez les petits... c'est corrélé de façon criante, mais nos ministres le voient-ils, eux qui signent les lois... dont le corps ne lit pas les lignes vaines.



En alimentation :

tout le monde entend dire que les pesticides empoisonnent. Que le vin commercial en contient plus que l'eau n'y est autorisée. Il y a eu une carte reliant les taux de cancers et les qualités de l'eau de ville. Etude d'un ingénieur hydrologue. Condamné parce qu'il se m^élait de "santé" n'étant pas diplômé pour ce faire. Mais les données de santé publiées par la faculté idoine étaient-elles devenues fausses parce qu'il les plaçait sur une carte parallèle à la sienne ? On l'a fait taire.

Les plantes trouvent des parades aux bricolages génétiques. Les coprs rejettent les substances : ce sont les allergies. Est-ce sain d'esprit d'en seulement masquer les inconvénients à la cortisone ou autres ?

Sans ces invasions nutritives saurions-nous que notre "agriculture" est vendue à des gens sans loi divine, sans respect écologique vrai ?



En liturgie :

Sans les démolisseurs, les matérialistes ou les "éclairés" du XVIII° et suivant, aurait-on su que les séminaires n'enseignaient plus à prier, à aller en soi. Malgré le très beau palmarès du XIX° en des directeurs d'âme très fins, cela n'a pas réveillé. Il a fallu les démolisseurs de tradition, donc de liturgie (car elle se transmet, contenant, et contenu) pour que les symboles soient appelés. Dans de petites pépinières, qui grandissent, comme en médecine, comme en travail de la terre.


Idem pour le "développement personnel", même s'il lui manque encore la dimension ouverte à un Dieu relié à notre coeur, Père et Mère de chacun.

Idem pour les hiérarchies parmi les gens qui travailelent économiquement ensemble. IL y a des choses qui bougent.

Idem en physique, en observation des phénomènes énergétiques. Qui a créé l'énergie ? Ils s'y penchent et font des croisements scientifiques qui vont très loin. L'envahissement des "tout est dans la matière" vont aller se rhabiller, sans savoir répondre.


J'ai revu le Thomas More "Un homme pour l'éternité"...
Ce film dit bien que tout ce qui contredit Dieu est caduque...


Qui a le plus péché : Marie ou Joseph, en un seul mouvement d'humeur un soir de fatigue, ou les larrons crucifiés ? Chacun est jugé selon sa nature, et les talents reçus.

Qui sommes-nous pour savoir qui a le plus péché entre les tireurs, débiles en religion, haineux en société, et les fils d'un pays visité de la Vierge, qui ont choisi de payer pour applaudir des paroles qu'ils ne voient peut-être même pas ?


L'abbé Benoît a dit "frère siamois". Il n'a pas dit responsables à égalité de cette chose odieuse. Il dit responsable à égalité du soin de leur âme. Il n'a pas dit fautif à égalité.

Pas plus que Caïn et Abel, jumeaux probables, ne sont mis dand la même balance par Dieu. Frères, comme les jumeaux Esaüe et Jacob... et il y en a d'autres... Frères.

Frères siamois, non séparés de corps, mais chacun son âme. Chacun le même mère, sur le même placenta.


Son mot n'a pas été compris.
Parce que nous devenons nuls en vocabulaire, et nuls en réalité des mots. Qui a dit "Prince du Mensonge" ? Pourquoi lui accordons nous le droit de réécrire les dictionnaires ?

Qu'entendrons-nous alors de la Parole, du Verbe, dans ces ignorances où nous baignons ?




Merci des analyses que vous venez de faire.
Il est important de voir ce qui est.
Sans le caricaturer, sans le colorier de travers.


Avec mes dominicales salutations
Glycéra

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