Prophéties de la Servante de Dieu Luisa Piccarreta
12 FÉVRIER 1918
RAISONS POUR LESQUELLES LES ÉGLISES SONT DÉSERTES ET LES MINISTRES DISPERSÉS.
«Hélas ! ma fille, quand je permets que les églises soient désertes, les ministres dispersés et les messes en diminution, cela signifie que les sacrifices sont des offenses pour moi, les prières des insultes, les adorations des irrévérences, les confessions des passe-temps sans fruits. Ne trouvant plus ma gloire mais plutôt des offenses en retour des bénédictions que je donne, j’arrête ces dernières. Ces départs de mes ministres indiquent aussi que les choses ont atteint leur point culminant. Les châtiments seront multipliés. Comme l’homme est dur, comme l’homme est dur !»
19 AOÛT 1918
JÉSUS DÉPLORE LES VILENIES DE CERTAINS PRÊTRES
«De toute façon, je suis fatigué de la vilenie des prêtres. Je ne peux plus en prendre, je veux en finir avec cela. Oh ! que d’âmes dévastées, défigurées, que d’idolâtries ! Se servir des choses saintes pour m’offenser cause mon plus amer chagrin. C’est le péché le plus abominable, la marque de la ruine totale. Il attire les plus grandes malédictions et brise les communications entre le Ciel et la terre. J’aimerais éradiquer ces êtres de la terre. Pour cette raison, les châtiments continueront et seront multipliés ; la mort dévastera les villes et beaucoup de foyers et de routes disparaîtront ; il n’y aura plus personne pour les habiter. Le deuil et la désolation régneront partout !»
16 OCTOBRE 1918
Prophéties sur la France, l'Italie, l'Angleterre et la Russie
«Calme-toi, calme- toi ; c’est moi, écoute-moi. Te souviens-tu que, dans les mois passés, quand tu pleurais avec moi sur la pauvre ITALIE, je t’ai dit : «Ma fille, qui perd gagne et qui gagne perd.»
«L’ITALIE et la FRANCE ont déjà été humiliées et elles le seront encore jusqu’à ce qu’elles soient purifiées et qu’elles me reviennent librement, volontairement et pacifiquement. Dans le triomphe apparent dont elles jouissent, elles subissent l’humiliation que non pas elles, mais des étrangers — pas même des européens — sont venu expulser l’ennemi. Aussi, si cela peut être appelé un triomphe — ce qui n’en est pas un —, il appartient aux étrangers».
«Mais cela n’est rien. Ils perdent plus que jamais, autant dans le domaine spirituel que dans le domaine temporel, parce que ces événements les disposent à commettre de plus grands crimes, à vivre des révolutions internes féroces, jusqu’à surpasser même la tragédie de la guerre. Ce que je te dis ne concerne pas seulement le temps présent, mais aussi le futur. Ce qui n’arrive pas maintenant arrivera plus tard. Si quelqu’un trouve cela difficile ou doute, cela signifie qu’il ne comprend pas ma manière de parler. Ma Parole est éternelle, comme je le suis moi-même».
«Je veux maintenant te dire quelque chose de consolant. L’ITALIE et la FRANCE perdent maintenant et l’ALLEMAGNE gagne. Toutes les nations ont leurs zones obscures et toutes méritent d’être humiliées et écrasées. Il y aura une agitation générale et de la confusion partout. Je vais renouveler le monde par l’épée, le feu et l’eau, avec des morts subites et des maladies contagieuses. Je ferai des choses nouvelles. Les nations deviendront une sorte de tour de BABEL. Elles en arriveront à ne même plus se comprendre entre elles ; les gens se révolteront entre eux, ils ne voudront plus de rois. Tous seront humiliés. La vraie paix ne viendra que de moi. Et si tu les entends parler de paix, ce ne sera pas la vraie paix, mais seulement une paix apparente».
«Quand j’aurai tout purifié, je poserai mon doigt d’une manière surprenante et je donnerai la vraie paix. Toux ceux qui furent humiliés me reviendront. L’ALLEMAGNE sera catholique ; j’ai de grands desseins sur elle. L’ANGLETERRE, la RUSSIE et tous les pays où le sang a coulé retrouveront la foi et seront incorporés à mon Église. Ce sera un grand triomphe et une grande union chez les peuples. Par conséquent, prie. La patience est nécessaire parce que cela ne viendra pas bientôt, mais prendra du temps.»
10 MAI 1919
«Ah ! tu ne sais pas la destruction qui va venir dans le monde. Tout ce qui est arrivé jusqu’à maintenant peut être considéré comme un jeu en comparaison des châtiments à venir. Je ne te laisse pas tout voir pour ne pas trop t’oppresser. À la vue de l’entêtement des hommes, je reste comme caché en toi. Et toi, prie avec moi et refuse de tourner tes pensées vers toi-même.»
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