Au risque de choquer certains "tradis", je trouve François à la fois autoritaire et brouillon. En gros, je prône la collégialité, mais je fais radicalement le contraire, tout en distillant dans les médias.
François apparaît comme quelqu'un ayant moins d'autorité, préférant laisser pourir une situation ou laisser parler quelques-uns médiatiquement. Mais sur les réseaux sociaux, on remarque que certaines têtes (le patriarche melkite, Mgr Chaput, le cardinal Erdö...) parlent et même percent...
Paul VI avait été assez fin: il avait tout fait pour que le concile soit accepté par la minorité, quitte à faire des "grosses" concessions (Marie mère de l'Eglise, par exemple). Il prenait, dit-on, à Castel Gandolfo les objections de la minorité, et les lisait.
Mais il me semble que chez les argentins, on se réfugie en petit groupe tout en laissant des coups foireux...
J'ai une hypothèse: et si François était le dernier pape d'une Eglise dialoguante et divagante. Et si son élection ne permettait pas davantage d'en assurer la liquidation ? Bref, les paradoxes de la Providence...
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