à la relecture, comporte un double entendre assez émouvant, en effet, pour qui connaît le destin du chanteur José Mojica, et le vrai amour de Dieu qui le porta au couvent : una vez nada más se entrega el alma, con la dulce y total renunciación.
Vu de cet angle là, la petite chansonnette devient toute autre chose.

Solamente una vez,
Amé en la vida,
Solamente una vez,
Y nada más.

Una vez nada más en mi huerto,
brilló la esperanza,
La esperanza que alumbra el
camino de mi soledad.

Una vez nada más,
Se entrega el alma,
con la dulce y total renunciación.
Y cuando este milagro realiza el
prodigio de amarse,
hay campanas de fiesta
que cantan en mi corazón.

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