Le Forum Catholique
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( 975487 )
Les baptêmes d'adultes à Pâques en forte hausse par Roger (2024-03-28 07:18:16)
( 975501 )
Pas mal par Ptitlu (2024-03-28 17:23:23)
[en réponse à 975487]
Mais combien restent dans la durée ?
( 975514 )
Même question par JFB33 (2024-03-29 01:25:06)
[en réponse à 975501]
Pour ceux qui sont déjà baptisés ?
( 975522 )
rien compris à votre question par jejomau (2024-03-31 09:47:41)
[en réponse à 975501]
Suis-je le seul ?
Un bapteme est un bapteme : vous renaissez dans le Christ sans retour possible en arrière
( 975523 )
Oui mais par Vox clamantis (2024-03-31 12:52:02)
[en réponse à 975522]
Ce n'est pas parce que vous êtes baptisé que vous allez régulièrement a la messe.
Combien de nouveaux baptisés qui cesseront de pratiquer d'ici quelques mois ?
( 975525 )
Pourquoi ? par MG (2024-03-31 13:20:47)
[en réponse à 975523]
Etre forcément pessimiste ?
êtes-vous comptable de la grâce de Dieu reçue par le baptême ?
Ce genre de questions induit des réponses malveillantes.
( 975527 )
En effet cher MG par Roger (2024-03-31 14:24:26)
[en réponse à 975525]
L'effet du baptême est définitif.
Ce n'est pas une inscription à un club ou à un parti qu'il
faut renouveler et qu on peut abandonner.
D'un autre côté un esprit critique peut soutenir qu'ils ont fait un choix plus responsable qu un enfant dont les parents passent leur temps à critiquer pape et évêques !
Prions plutôt pour ces nouveaux Chrétiens et veillons à les accueillir chaleureusement.
( 975529 )
Suis-je le gardien de mon frère ? par Rémi (2024-03-31 14:48:29)
[en réponse à 975525]
Ben oui, un peu quand-même ! Et si sa foi meurt, c'est à dire sa véritable vie, celle de son âme, ne me posera-t-on pas la même question qu'à Caïn ?
Et de la grâce baptismale reçue ? Oui, les parents en sont comptables pour leur petit enfant, et pour les adultes la communauté ecclésiale, paroisse, accompagnateurs au baptême et parrains, qui tous doivent veiller à sa croissance chez le néophyte, sous peine d'assister passivement à sa lente (voire rapide) ... apostasie. Du moins à un affadissement qui s'en rapproche beaucoup.
Je ne sais ce qu'il en est en Tradiland, mais dans le reste de l'Eglise si l'augmentation des baptêmes d'adultes est à saluer, beaucoup d'abandons de la pratique à leur suite (ou après leur confirmation qui suit généralement sans tarder) sont à déplorer.
Si la conduite vers le premier sacrement est généralement bien menée, je puis témoigner, et j'en partage aussi la faute, que les néophytes sont ensuite trop souvent livrés à eux-mêmes, comme si tout avait été fait et la mission entièrement accomplie et terminée une fois le baptême reçu. Alors que ce n'est évidemment qu'un commencement, et que les graines semées, de la foi et de la grâce, sont on ne peut plus fragiles. Fortes, mais fragiles. Et menacées. Et c'est aux forts, si nous le sommes, de protéger les faibles.
Il ne s'agit pas de cornaquer ou de fliquer les nouveaux chrétiens, mais de les accompagner dans les pratiques, nouvelles pour eux, de notre foi nouvellement embrassée, exactement comme on les a accompagnés vers elle, surtout en ce qui concerne les sacrements réguliers (je vais à la Messe, je passe te chercher et on y va ensemble comme nous le faisions lorsque tu te préparais au sacrement ? Pas compliqué) , et plus difficile, la prière personnelle et sa régularité.
Me semble-t-il, car je ne suis plus accompagnateur depuis longtemps, mais bien des enthousiasmes et es joies de la veillées pascale ont été sévèrement douchés dans les mois ou les années suivantes.
Pardon pour ce brin de réalisme pessimiste en ce jour de grande joie : Le seigneur est ressuscité ! Joyeuses et saintes Pâques, chers amis liseurs, et néophytes si chers à nos cœurs !
( 975530 )
Le fait est par Vox clamantis (2024-03-31 14:48:59)
[en réponse à 975525]
Que le taux de persévérance est - et c'est un phénomène connu depuis longtemps - assez bas.
C'est suffisamment marqué pour que cela donne lieu à des interrogations non pas sur les néophytes, que je n'incrimine pas, mais sur les structures.
Si les trois quarts des néophytes disparaissent dans les six mois, le problème n'est pas dans l'usage de la grace reçue au baptême mais ailleurs.
Où ? Je ne sais pas. Est-ce qu'on cherche sérieusement à remédier au problème ? À part quelques initiatives ponctuelles, je ne suis pas sûre.
( 975532 )
Les structures. par Rémi (2024-03-31 15:23:15)
[en réponse à 975530]
Vous dites fort bien.
Si le nombre d'entrées en catéchuménat, de baptêmes et de confirmations d'adultes augmente, c'est indéniablement grâce à Dieu et à l'efficacité sans cesse croissante des structure du service du catéchuménat à répondre de façon adaptée aux demandes de plus en plus nombreuses.
Si la pratique dominicale des jeunes, au sens large, stagne généralement, doux euphémisme, ce n'est certainement pas la faute du Bon Dieu. Mais peut-être tout simplement parce qu'il n'existe pas, à ma connaissance, de structure d'accompagnement post-catéchuménal ad hoc au delà de la confirmation.
L'Eglise a su répondre à la relative nouveauté de la forte demande d'adultes, j'espère et je veux croire qu'elle saura relever le défi de ce qu'il advient une fois reçus les sacrement de l'initiation. Mais pour le moment, sauf erreur, c'est le néant au niveau des structures, malgré certaines initiatives "indépendantes" comme vous le soulignez.
Or l'apostasie, même passive, est une réalité bien plus tragique encore que l'incroyance.
( 975534 )
Le Journal du Dimanche en parle par Roger (2024-03-31 16:27:02)
[en réponse à 975532]
Je vous recommande cet excellent journal .
Il consacre deux pages entières à cette question (uniquement sous l'angle ordinaire hélas)et estime l'abandon de la pratique (pas de la Foi)à 50 voire 70%. Toutefois il ajoute qu'une prise de conscience des évêques aurait lieu...
Pour ma part, j'ai noté dans les milieux traditionnels deux leviers forts : Primo, les groupes de jeunes ou de couples (sagittas ou domus) permettent de créer des liens (exemple vécu il y a 4 ans). Secundo, le .. mariage si l'un des deux est un catholique convaincu, il peut ancrer l'autre dans une pratique régulière !
( 975633 )
D'expérience par Halbie (2024-04-03 00:42:56)
[en réponse à 975534]
Et dans un autre contexte ecclésial, le passage du catéchuménat (accompagnement "sécurisant") à la vie de baptisé est assez brutal. D'où l'importance des liens communautaires, que je trouve bien plus difficile à nouer dans l'Eglise catholique.
( 975580 )
Parce que ces chiffre des baptêmes d'adultes par Ptitlu (2024-04-01 13:00:11)
[en réponse à 975525]
Sont de la gonflette statistique. On perd une très grande partie des nouveaux baptisés - et évidemment les diocèses ne préfèrent pas communiquer sur le sujet.
Mais les prêtres concernés le voient bien, surtout quand les baptisés viennent de milieux très dechtistianisés. Un déménagement pote études, un changement de boulot, une nouvelle petite amie ou une rupture sentimentale, et pfuiit ! Disparu.
( 975595 )
[réponse] par Xaverus (2024-04-01 18:32:41)
[en réponse à 975580]
Le catéchuménat est un moment fort, et il n'est pas toujours facile de quitter le groupe des catéchumènes pour tomber dans l'anonymat d'une assemblée où l'on est, au mieux ignoré, au pire mal accueilli par son voisin de banc (je parle d'expérience malheureusement). L'expérience montre cependant qu'un néophyte intégré dans un groupe (une chorale, une famille, une aumônerie d'hôpital) s'enracine bien.
Par ailleurs, il est indéniable que nous assistons à une augmentation du nombre de catéchumènes de tous âges (enfants, adolescents, étudiants, adultes parfois très âgés). Dans ma paroisse actuelle comme dans ma paroisse précédente, c'est une arrivée tous les quinze jours.
( 975625 )
...et que proposez-vous ?... par Père M. Mallet (2024-04-02 17:22:10)
[en réponse à 975580]
Quand une personne demande à recevoir le Baptême, on lui demande de un à deux ans de préparation, assez intensive.
On ne peut décemment pas lui demander plus.
Et puis obliger un notaire ou un juge de 55 ans, à suivre des réunions où on frappe dans ses mains joyeusement, ça doit être assez pénible : je veux dire par là que, vu l'éclatement des cultures et modes de vie, il est difficile de proposer un contenu qui convienne à tous.
Que proposez-vous ?
Bon, évidemment, si les statistiques de persévérance étaient trois fois meilleurs chez les tradis, ça pourrait leur donner des idées...
Mais y a-t-il de vraies statistiques chez les uns et chez les autres, en plus de votre impression personnelle ?
( 975628 )
[réponse] par Xaverus (2024-04-02 18:02:48)
[en réponse à 975625]
Je n'ai proposé aucune impression personnelle sur le taux de persévérance des néophytes, car je n'ai aucun recul pour pouvoir dire quoi que ce soit en la matière...
Pour les solutions, je n'en ai guère d'autre, très générale, que le souci d'intégration de chaque néophyte. À l'époque où je me suis occupé de catéchumènes, je faisais le point avec chacun et j'ai toujours trouvé une solution pour éviter un isolement, sans demander quelque chose de dense, mais en m'adaptant à chaque personne.
Ensuite, il y a une manière de prendre soin qui regarde toute la paroisse. J'ai un jour entendu un chrétien (de toujours ?) dire à un chrétien baptisé quatre ans auparavant "Vous avez été baptisé récemment, vous n'êtes pas vraiment dans l'Eglise". Cela n'est pas acceptable ! Si je commence à regarder un néophyte en pensant"de toute façon, vous allez bientôt abandonner ", je ne me mets pas en demeure de l'aider à persévérer.
( 975629 )
Merci pour votre réponse (mon message s'adressait à Ptilu)... par Père M. Mallet (2024-04-02 18:08:39)
[en réponse à 975628]
Ce que vous dites est plein de bon sens.
( 975531 )
Question sur les baptêmes à Pâques par Leopardi (2024-03-31 15:18:00)
[en réponse à 975487]
Est-ce une tradition récente (depuis la semaine sainte réformée) ou bien plus ancienne?
Je n'en vois pas mention dans ma semaine sainte avant 1955 et cela est mentionné dans la semaine sainte post-1955.
Merci.
( 975548 )
Tout à fait traditionnel par Lycobates (2024-03-31 22:28:39)
[en réponse à 975531]
Les baptêmes (d'adultes ou d'enfants) se font depuis toujours la veille de Pâques (et la veille de la Pentecôte), après la bénédiction des fonts baptismaux et la commixtion du Saint Chrême et de l'huile des catéchumènes dans l'eau baptismale dans le baptistère et avant de regagner le choeur pour chanter les Litanies des Saints.
La rubrique dans le Missel (ante-1955) dit à cet endroit : Si aderunt baptizandi, eos baptizet [Sacerdos] more consueto.
Soit : S'il y a des personnes à baptiser, le prêtre doit les baptiser de la manière coutumière.
C'est à dire qu'à ce moment s'insère le rituel coutumier du baptême, soit des adultes soit des enfants, tel qu'il figure dans le Rituel romain.
( 975551 )
Merci beaucoup cher Lycobates par Roger (2024-03-31 22:55:38)
[en réponse à 975548]
Je crois simplement qu'à une époque où 99% des enfants étaient baptisés (en France par exemple), les baptêmes d'adultes étaient fort rares.
( 975553 )
Fort rares effectivement par Lycobates (2024-03-31 23:09:30)
[en réponse à 975551]
et de surcroît on peut supposer que dans le passé les convertis (soit du protestantisme qui abjuraient et étaient baptisés sous condition, soit des mécréants venus d'un milieu farouchement anticlérical et hostile) cherchaient souvent à éviter la publicité accrue d'un baptême public la veille de Pâques (ou de la Pentecôte avant son abolition incompréhensible en 1955), et qu'ils préféraient un moment plus discret pour accomplir leur conversion, ce qui au demeurant est parfaitement légitime.
On peut baptiser tous les jours de l'année.
( 975587 )
Suppression de la vigile de la Pentecôte par Halbie (2024-04-01 16:17:36)
[en réponse à 975553]
J'imagine que le but était de donner l'exclusivité à la vigile pascale ? Je me demande si sa suppression était déjà prévue dans le Memoria de la Commissio Piana ou si l'idée s'est imposée ensuite.
( 975589 )
un "doublon" par Lycobates (2024-04-01 16:36:29)
[en réponse à 975587]
Le jansénisme liturgique (hérétisant, sinon hérétique, comme le jansénisme dogmatique) qui a présidé aux réformes depuis 1951-1955, mais surtout 1962, a horreur de ce qu'il appelle, ou considère comme des "doublons".
Sûrement la Vigile de la Pentecôte, avec ses six prophéties (depuis Saint Grégoire) le petit frère de la Vigile Pascale, était-elle perçue comme "superflue", malgré son grand âge (dès Tertullien).
( 975591 )
Cher monsieur merci et aussi par Roger (2024-04-01 17:47:26)
[en réponse à 975589]
Pourriez-vous développer, si vous en avez le temps, votre analyse sur la nature janséniste des réformes liturgiques des années 1950 et 60 s'il-vous-plaît ??
Yves Daoudal avait notamment noté que les oraisons réformées semblaient réduire l'effort de l'homme et renforcer l'idée de gratuité du salut. C'est vaguement janséniste également...mais je ne suis pas théologien !
( 975593 )
Habituels poncifs par Luc de Montalte (2024-04-01 18:27:09)
[en réponse à 975589]
( 975607 )
Les pélagiens et François par Roger (2024-04-02 03:34:30)
[en réponse à 975593]
Il me semble que parfois l'enseignement du pape François peut surprendre.
Sa condamnation répétée de l'hérésie pelagienne laisse penser qu il serait très attaché à l augustinisme.
Mais comme il a aussi exprimé son espérance d'un salut très largement accessible, s'agit il d'une variante nouvelle de l'augustinisme dans laquelle Dieu sauverait certes gratuitement mais aussi plus généreusement qu'on ne le croyait ?
( 975613 )
Pas trop par Luc de Montalte (2024-04-02 09:42:30)
[en réponse à 975607]
Quand le pape François parle du néo-pélagianisme ou du gnosticisme c'est avec une définition qui lui est propre et qu'on ne retrouve pas vraiment ailleurs, p. ex. (Evangelii gaudium) :
« le néopélagianisme autoréférentiel et prométhéen de ceux qui, en définitive, font confiance uniquement à leurs propres forces et se sentent supérieurs aux autres parce qu’ils observent des normes déterminées ou parce qu’ils sont inébranlablement fidèles à un certain style catholique justement propre au passé » (§94).
Pourquoi pas après mais bon, pas trop de rapport avec la dicussion (juste au cas où je me permets de rappelr au passage que "l'augustinisme" appartient strictement à la saine théologie catholique).
( 975615 )
Certes mais par Roger (2024-04-02 09:49:10)
[en réponse à 975613]
Je vous remercie de votre citation précise et un peu effrayante.
Mais derrière le refus de l'esprit prometheen, n y a t il pas quand même un peu l'idée symétrique que Dieu sauverait gratuitement ?
( 975616 )
Je ne comprends pas par Luc de Montalte (2024-04-02 10:20:46)
[en réponse à 975615]
Niez-vous que Dieu nous sauve gratuitement ? Pensez-vous que nous "méritons" le Rédempteur ?
Vous mélangez des questions différentes je pense. Pas compris non plus en quoi la citation du pape est "effrayante".
( 975618 )
Je m'explique par Roger (2024-04-02 12:28:53)
[en réponse à 975616]
L'effroi vient de cette formule :
" parce qu’ils observent des normes déterminées ou parce qu’ils sont inébranlablement fidèles à un certain style catholique justement propre au passé » (franchement c'est pas sympa...dirait ma fille).
S'agissant de la gratuité, je ne suis pas théologien mais j'ai plutôt l'idée que pour que Dieu sauve un homme, il faut tout de même que ce dernier évite de commettre des péchés mortels...et fasse plutôt le Bien (même si Dieu reste souverain dans ses décisions).
Bien sûr, les propos du Saint pere peuvent etre compris de façon orthodoxe en considérant qu'il condamne l'attitude hérétique du chrétien gonflé d'orgueil qui pense pouvoir se sauver seul sans recourir à la grâce de Dieu simplement par ses œuvres. Attitude qui existe certainement...mais qui ne correspond guère au profil type du fidèle attaché à la Tradition...en revanche je n'exclus pas que certains modernistes attachés à l'exégèse historico critique et à l'engagement politique et social se sentent quasiment certains de bénéficier de la miséricorde divine...mais je défend peut-être des idées simplistes ...
( 975621 )
Une bonne référence par Luc de Montalte (2024-04-02 14:29:49)
[en réponse à 975618]
Vous êtes hors-sujet.
La gratuité de la grâce, qui est au catéchisme, n'a rien à voir avec prétendre que l'on se sauverait sans "faire plutôt le Bien"... Voici une bonne référence que j'ai déjà cité sur ce forum et que vous devriez consulter pour quitter ces idées fausses sur saint Augustin :
Étienne Gilson, Introduction à l’étude de saint Augustin, octobre 1987, ISBN 978-2-7116-2027-2
Par exemple :
Pour Saint Augustin, « depuis la chute, tous les hommes ne forment plus qu'une masse pécheresse, et débitrice, à l'égard de la suprême justice, des peines qu'elle doit subir.
Que Dieu remette ce supplice en justifiant le coupable, où qu'il l'exige en l'abandonnant, nulle injustice n'est commise. Quant à savoir qui doit subir sa peine, qui doit en être exempté, ce n'est pas à nous, débiteurs, qu'il appartient d'en décider. Dieu n'oblige pas certains hommes à pécher parce qu'il en justifie certains autres, et il n'en justifie certains qu'au nom d'une inscrutable équité dont les raisons échappent à notre jugement.
Ainsi, le dernier mot d'Augustin sur cet obscur problème est un aveu d'ignorance; l'homme s'incline devant un mystère qu'il ne saurait scruter. » (Chapitre III, p. 204)
PS : pour ce qui est de la phrase du pape, je n'y vois guère qu'une dénonciation de l'hypocrisie ou d'une foi trop formelle. Je ne sais pas s'il y a une pique contre les traditionnalistes, ça ne m'intéresse pas beaucoup de le considérer.
( 975623 )
Merci beaucoup par Roger (2024-04-02 15:21:03)
[en réponse à 975621]
Pour vos informations
( 975605 )
Les convertisseur issus de l'islam par Roger (2024-04-02 03:26:23)
[en réponse à 975487]
( 975606 )
Lire les "convertis" par Roger (2024-04-02 03:27:46)
[en réponse à 975605]
Excusez-moi
( 975701 )
Dans les anciennes dépendances soviétiques... par Paterculus (2024-04-04 23:15:08)
[en réponse à 975487]
... les gens n'avaient pas vraiment la possibilité d'être baptisés et les traditions familiales avaient été souvent rompues.
Beaucoup de gens nés dans ces pays pendant la glaciation soviétique sont depuis arrivés à l'âge adulte et découvrent ce dont ils ont été privés. Ils demandent le baptême.
Cela se passe aussi chez nous, même si c'est assez différent.
Votre dévoué Paterculus