L’évêque d’Essen Franz-Josef Overbeck, qui, en tant que président de la commission Adveniat, a soutenu la préparation du Synode sur l’Amazonie et qui a également participé à diverses réunions préparatoires, parle du point de rupture que représenterait l’Assemblée épiscopale de Rome représenterait, mais évoque aussi dans ce cadre le «chemin synodal». De quel genre de rupture pourrait-il s’agir ?
En tout cas, cette chose ne sera plus l’Église catholique. Car la rupture est une catégorie qui est totalement contraire à la notion d’organisme, à un développement organique. Une rupture qui aurait pour résultat que rien ne serait plus comme avant signifierait la fin de l’Eglise.
L’essence de l’Église est la transmission de la foi des apôtres à jusqu’au second avènement du Seigneur – mais elle n’est en pas une évolution progressive dans laquelle l’essence de l’Église changerait.