ne récitaient ni le chapelet ni le rosaire, mais l'office des pater, soit 150 pater chaque jour en nombre égal au nombre de psaumes. A chaque heure canoniale, précédés du Deus in adjutorium et suivis du Fidelium animae.
Existait-il un objet permettant le comptage matériel des pater ?
Les miniatures de l'encyclopédie en langue d'oc écrite à la fin du XIIIe siècle à Béziers "Le Breviaire d'Amour" montrent à diverses reprises des frères mineurs, ceints de leur corde à noeuds, mais rien qui ressemble à un chapelet à grains.
Dans les paroisses de Languedoc les "Confréries du Rosaire" apparaissent au moyen des visites pastorales des évêques dans la deuxième moitié du XVIIe siècle.
Souvenir personnel d'enfant de choeur : jusqu'aux années 1960-65 après les vêpres du dimanche, s'il y avait récitation du chapelet, l'officiant déposait la chape et prenait place dans sa stalle du choeur et non au fauteuil ou à la banquette réservée à l'officiant.
Même publique, la récitation du rosaire ou chapelet ne semblait pas considérée comme un acte liturgique proprement dit.
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