Les proternations liturgiques que vous citez sont celles du célébrant, ou des candidats.

Dans des textes, il est d'ailleurs amalgamé prostrations et prosternations.

Certes les occidentaux s'abaissent, mais presque toujours à genoux, et si possible avec les genoux à l'aise sur un bois propre, ou un coussin. Leur effort est de rester longtemps à genoux. Vosu remarquerez que les modes des 50 dernières années ont évacué cette posture, presque partout. Souvenir vers '70, où tous les "participants" s'asseyaient car c'était trop dut de rester debout pendant "tout" le canon ! (me raccourci comme il le fut)

Mais je parle de l'inclinaison simple, profonde ou totale des Orientaux.

Prier debout, et se pencher pour toucher le sol, se souvenir qu'on est terrien, petit, et en profiter pour mieux savourer l'Incarnation, alors se redresser pour être digne, prêt à entendre Dieu et à le questionner aussi.

Ces prosternations ont un effet physique différent de l'agenouillement.

Je ne connais quasiment pas de catholiques les pratiquant.
J'aime ce geste.

Glycéra

qyui a cherché un peu de textes dans l'Eglise romaine, et quasi rien trouvé. Je peux les mettre en ligne si cela intéresse.

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