Je ne comprends pas bien votre post.
Il n'existe à mon avis pas de vraie "querelle des rites" auprès des catholiques (si ce n'est la question de savoir s'il faut appliquer une cessation ab intrinseco pour les réformes de 1955-56 ou pas).
Il y a ceux, ils sont catholiques, qui ont répudié la Seconde Réforme (celle de 1965-1969, pas celle de 1517, qui est la première et qu'ils répudient bien entendu aussi) et qui continuent, tant bien que mal, sans renouvellement de la juridiction ordinaire, par voie d'épikie, sur le chemin catholique, ancestral, "tradi". Exercice extrêmement difficile, car inouï, et qui ne va pas sans fautes.
Et il y a ceux qui, tout en répudiant les réformes, ou certaines d'entre elles, mais sans bien se poser la question de l'autorité, qui est indissociable et qui demeure la question primordiale, cherchent une reconnaissance dans et par les structures usurpées, jadis catholiques, usurpées par les (post-)modernistes, pour continuer dans une niche tradie, en quelque sorte une chapelle latérale du temple moderniste, leur high-church (ou l'idée qu'ils s'en font, pas toujours bien avérée), à côté de, et tolérée par, la low-church dominante.
Cela ne saurait être une attitude entièrement catholique, qui est celle du aut Caesar aut nihil.
Dernièrement on nous apprend que la low-church conciliaire dominante se montre particulièrement mesquine vis-à-vis de ses correligionnaires high-church.
Cela ne nous concerne pas, mais nous en sommes absolument désolés pour toutes les âmes de bonne volonté désabusées.
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