Comme Peppone et Don Camillo à Cassolnovo : les cloches font trop de bruit, écrit le maire au curé
par Lucia Landoni - La Repubblica (traduction automatique)



Les citoyens se plaignent du tintement continu des cloches et écrivent une lettre de plainte au maire, qui à son tour écrit au curé pour demander des explications : cela ressemble à l'intrigue d'un roman de Guareschi, mais c'est ce qui se passe réellement ces jours-ci. à Cassolnovo, une ville d'un peu plus de six mille habitants dans la région de Pavie. Les protagonistes de l'histoire ne sont pas Peppone et Don Camillo, mais le maire Luigi Parolo et le curé Don Cesare Silva .

Tout commence lorsque certaines personnes qui vivent près de l'église paroissiale de San Bartolomeo se tournent vers le maire pour un "présumé bruit excessif des cloches - comme nous le lisons dans la lettre envoyée par la municipalité au presbytère - Trop bruyant, trop long, trop souvent, même la nuit : c'est l'avis de ces citoyens que le seuil de tolérabilité normale est dépassé ».

L'envoi de la lettre était « un devoir », soupire Parolo, qui explique s'être retrouvé malgré lui impliqué dans l'affaire : « Personnellement, je n'ai pas vu de problèmes liés à la sonnerie des cloches, mais le groupe d'habitants du centre qu'il a écrit ne pouvait évidemment pas être ignoré - déclare-t-il - Dans les 30 jours, je suis tenu de leur donner une réponse et je ne peux pas le faire jusqu'à ce que le curé me la donne à son tour ".

Pour le moment tout est muet de la part de la paroisse, mais le maire est persuadé que « tout est très probablement né d'une erreur de programmation dans le logiciel qui régule le son des cloches. » Cassolnovo est situé dans une zone qui peut encore être considérée comme une périphérie Milanais, donc la plupart des gens se lèvent très tôt le matin pour rejoindre leur lieu de travail à Milan et sont particulièrement sensibles à la sauvegarde du repos nocturne ».

Cela dit, Luigi Parolo ne veut pas choisir entre "un pays de bigots ou de gens qui s'occupent de frivolités, comme si nous n'avions rien de plus grave à craindre que la sonnerie des cloches - conclut-il - La réalité n'est pas celle-ci : dans cette période historique particulière, nous avons des problèmes beaucoup plus graves à traiter, devant lesquels je voudrais que notre communauté reste unie".

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