L'article en question se basse sur une série d'interpellations qui ont lieu sur Twitter avec des comptes dédiés. Les faits reprochés sont des abus commis par des membres de ladite Fraternité au Gabon. Visiblement, il n'y a pas eu de saisine de la justice (question de prescription ou autre) et l'affaire est portée sur la place publique. Au point d'attirer l'attention de journalistes de La Vie, de La Croix et de Jeune Afrique. Une affaire douloureuse, même s'il faut toujours rester prudent sur les accusations. On en est là: parce qu'il n'y a pas eu de voies de recours, la dernière solution qui reste aux intéressés est de recourir aux réseaux sociaux. Avec tous les dangers inhérents à ce genre de théâtre.

Je ne sais quoi dire. Si les faits sont avérés, ils sont condamnables et inexcusables. S'ils sont faux, c'est une calomnie et un mensonge pur.

La chose qui m'inquiète est que depuis des mois, on cogne sur Twitter sur la FSSPX pour ces faits commis au Gabon. Faut-il redouter une campagne médiatique mondiale d'une violence inouïe contre la Fraternité ? Un peu comme ce que l'on a connu en 2009.

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