Mgr Claude-François Primat, premier archevêque de Toulouse après le Concordat de 1801 (et ancien évêque constitutionnel du Nord), n'aurait probablement pas été de l'avis de son successeur. On trouve dans ses papiers (conservés aux archives de l'archevêché) des observations sur la nécessité de porter la calotte dont voici quelques extraits :

On a remarqué que depuis le retour du clergé un grand nombre de prêtres et les ecclésiastiques dans les ordres sacrés ne portent plus la calotte. On ne peut rendre raison de cette suppression. Il paroit neanmoins que la calotte fait partie du costhume ecclesiastique. »
Ce n’est pas sans des raisons graves que l’Eglise l’a ainsi reglé, elle fait tout avec sagesse. »
La Calotte, disoit un superieur dont la mémoire sera longtemps en veneration, est pour vous, Messieurs, un memoratif de votre consecration et de votre stabilité dans le sanctuaire, elle vous rappellera la gravité de votre etat.

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