Quand vous dites "dispensateur" de sacrement, comme d'autres avaient dit "distributeurs", est-ce que vous ne restez pas au concept "matière" du sacrement, donc matériel, donc matérialiste, en comptant tel ou tel geste, en regardant si c'est bien inscrit dans un registre ?

Je me souviens des "cartes de messe" quand j'étais gamine, que les gamins à la queue leu leu allaient faire tamponner à la sacristie de l'église où ils étaient en vacances ... Je me souviens aussi des comtpes de BA, ou des paniques quand la confession avait dépassé le nombre de 31 jours depuis la précédente. Cela a certainement fait beaucoup de mal. Ce n'est pas cela qui nourrit nos âmes. Ce n'est pas le job d'un prêtre de se voir ainsi "fournisseur" comme un épicier.

C'est de la lettre, et cela tue !
Où est l'Esprit quand on en reste à ces manières de vues-là ?


Le meilleur du Christ n'a-t-il pas été dans ces gestes sacrés, sacramentaux, sur ses compatriotes ? Et ces gestes qu'il a permis, préparés, organisés, sur nous aussi, par ses "frères-prêtres" consacrés ne sont-ils pas les plus merveilleusement divins dans nos vies ?




Ma question ne portait pas sur le point où vous réagissez par une interprétation qui m'a toujours choquée, mais je la redis : avez-vous d'autres textes, citations ou extraits qui exposent la tâche primordiale, essentielle, d'un prêtre parmi les hommes ?

J'aimerai en avoir un bouquet ...

Nous en avons besoin, pour soutenir mieux nos prêtres, ces Christ vivant au milieu des hommes de notre temps.

Déçue par votre réponse, j'avoue désirer mieux ...
En remerciant d'avoir réagi, je vous adresse mes bonnes salutations

Glycéra

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