Rebonjour,
Apparemment, Isabelle de Gaulmyn n'est "ni pour les abus liturgiques, ni contre le NOM qui les permet, bien au contraire".
Le début du quatrième et dernier paragraphe commence par cette expression : "vu la misère fréquente de nos célébrations dominicales".
Mais quelle est donc la liturgie officielle qui a rendu possible cette misère effective ?
Ne sommes-nous pas témoins du fait que cette position, "ni pour, ni contre, bien au contraire", arrive vraiment à bout de souffle, et du fait que la priorisation de l'ecclésiologie de communion, dans "l'Eglise d'aujourd'hui" au préjudice d'une ecclésiologie de confession, dans la foi en Jésus-Christ, arrive, elle aussi, à bout de souffle ?
Bonne journée.
Scrutator.
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