...je l'ai ordonné parce que c'est juste.

Vieille problématique des juristes.

Qui n'a pas résisté au tribunal de Nuremberg.

Des indices laissent penser que les progressistes cherchent à remplacer le plus possible la Messe par une assemblée du peuple des croyants. Peu importe ce en quoi on croit, du moment qu'on croit en une forme de divinité. Et d'ailleurs, les questions de dogme divisent, donc interdiction de discuter de dogme. L'important, c'est de marcher ensemble. (Pour aller où ?... - Tout de suite les questions qui fâchent !...)
Donc, pas de dogmes, ça divise.
Et pour la morale ? Pour mettre tout le monde d'accord et éviter les controverses, on s'en tiendra aux normes morales "enseignées" par l'ONU, et qui font, ou devraient faire, consensus.
Et le Christ ? Il est là pour unir l'humanité, alors qu'il se fasse tout petit...
Et le pain partagé et le vin ? Il est bien évident (pour eux !...) que ce sont de purs symboles.

Le torpillage de la Messe d'autrefois est à mon sens une étape en vue de cette nouvelle religion mondialiste, élaborée en union étroite avec l'ONU - laquelle s'était permise de donner au Vatican des consignes et de réclamer leur application.

Voilà, juste une impression, d'après des "signaux faibles".

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