1) C'était une proche collaboratrice, qui lui a fourni une "précieuse contribution" pour la rédaction de certains de ses livres (était-ce son "nègre" ?...) ;
2) On peut parfaitement se promener en toute chasteté, et même en forêt, avec une amie et collaboratrice.
Il faut grandement se méfier de la grave faute qu'est le "jugement téméraire", qui se produit : a) si on n'est pas chargé de juger la personne ; et/ou b) si on n'a pas les éléments pour juger.
Evidemment, il va falloir maintenant redoubler de vigilance à cause des amateurs de commérages, et probablement s'abstenir de ce genre d'activité.
Un confrère prêtre a été enterré il y a quelque temps, pas très loin de chez moi. Tout le monde savait qu'il avait une grande amitié avec sa fidèle secrétaire/gouvernante/cuisinière. Mais rien ne me permet/permettait de penser qu'ils aient fauté ensemble. Je refuse donc de penser à mal, et j'ai bon espoir que cette conduite (ce refus de juger) soit agréable à Dieu.
Ce qui n'empêche pas la vertu de prudence pratique, relativement aux décisions à prendre (généralement, ce n'est pas moi qui prends les décisions, et on me demande assez rarement mon avis...).
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