"Si cette obligation passe par une loi elle sera forcément légale", affirme Donapaleu conscient ou non d'ouvrir une porte déjà ouverte.

La question à se poser n'est pas de savoir si toutes les mesures gouvernementales depuis que nous sommes en guerre (dixit Macron) sont légales ou non, mais de savoir si elles vont dans le sens du bien commun . La loi est toujours orientée vers le bien commun "ordinatio ad bonum commune" (saint Thomas); de plus pour être juste, elle doit émaner de celui qui a la charge de conduire la communauté (" qui curam communitatis habet ").

J'oublais de préciser que le Docteur commun précise que le premier critère de la loi est d'être rationnel ou conforme à la raison: " aliquid rationis ", raison qui doit être mesurée par la réalité. Que dire en effet de mesures qui prennent comme point de départ des statistiques dérisoires : moins d'1% de la population atteint par la Covid ? Voilà un exemple ridicule. Ce qui est en revanche inacceptable et révoltant, c'est le fait que l'Etat qui, depuis les années 1880, assure et devrait assumer une fonction hospitalière et médicale, abandonne par pans entiers ce secteur, en fermant notamment des lits en réanimation ou en soins intensifs, sans parler des services d'urgences laissés à eux-mêmes ou de la multiplication des déserts médicaux.

Ce gouvernement, depuis le début de la "pandémie", semble faire n'importe quoi, de folles décisions, non guidées par la prudence, à quelques détails près cependant. La politique vaccinale profite à un laboratoire et à des financiers auxquels nos hommes politiques - français et occidentaux, à commencer par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen - sont étroitement liés. Et on voit bien que nos dirigeants sur ce point en particulier ne se préoccupent en aucune manière du bien commun: se remplir les poches, c'est tout ce qui les intéresse...

On nous permettra pour finir de verser dans le complotisme: et si toutes ces mesures folles, ces exigences insensées, n'allaient pas dans le sens d'une restriction drastique de nos droits et libertés les plus élémentaires pour permettre à une clique mondialiste et tyrannique d'asseoir son pouvoir.

Bien avant le début de la "pandémie", en France tout au moins, on pressentait déjà l'arbitraire du gouvermenent Macron qui, avec la complicité de l'indispensable Castaner, tapait sur les opposants à la réforme des retraites ou gazait et éborgnait les Gilets Jaunes. En ce qui concerne la justice ou le bien commun, il ya bien longtemps que ces notions ont disparu de la sphère publique. Idem pour la légalité et la légitimité. Et ce n'est pas la Pécresse, ni même Madame le Pen ou M. Zemmour, qui changera quelque chose à cette situation.

baudelairec2000 plus que jamais hostile au désordre "républicain", résistant aux sirènes de la démocratie moderne.

Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel. Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici. D'avance, merci !