Soit ils sont en communion avec le maître général de l'Ordre qui vit à Ste-Sabine, et célèbrent dans le NOM et ne doivent rien faire ici...

Soit ils se parent des attributs de l'ordre, mais ne sont en rien des Dominicains (canada dry...). J'ai déjà cité ici le texte de la profession dominicaine, qui oblige à mentionner le provincial et le successeur de st Dominique. Sans quoi, c'est de la blague.

Il m'est arrivé d'assister à des messes et des prêches de la FSVF, sans devoir quitter mon banc. J'ai longtemps reçu leur petit bulletin (ceci pour parer les attaques de ceux qui vivent en vase clos).

Et un frère qui porte mon nom est à Avrillé depuis une quarantaine d'années... Nous échangeons tous les cinq ans et ils possèdent quelques livres grâce à moi. J'ai bon ?

Désolé d'avoir en tête, en partie, mais tout de même, l'histoire de l'ordo fratris praedicatorum depuis sa fondation à nos jours. Depuis là où je frappe ceci, je peux voir la tranche de la biographie du P. Vicaire revue par le P. Bedouelle et les quatre volumes de la Correspondance Lacordaire.

Les lecteurs amis me croiront si je dis qu'hier soir (!) vers 23 h 30 je lisais le témoignage du frère Reginald Bernier au sujet de mai 68 à la faculté de théologie d'Angers (quelque chose qu'on n'a pas lu dans le livre discutable de Y. Raison du Cl.), puis la correspondance d'un ami dominicain qui enseigna longtemps à Fribourg. Il faut bien se remonter le moral.

Je ne sais pas ce à quoi joue Mgr Morerod op.

J'aimerais savoir que les tombes dominicaines qui se trouvent au séminaire de Flavigny sont parfois l'objet des prières des jeunes gens... C'était le premier noviciat rétabli en France par mon compatriote Henri Lacordaire (bouh ! un vilain libéral et même un républicain enchanté par 1848 !).

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