Raté
Dans l’exercice de leur charge de père et de pasteur, que les évêques soient au milieu de leur peuple comme ceux qui servent [27], de bons pasteurs connaissant leurs brebis et que leurs brebis connaissent, de vrais pères qui s’imposent par leur esprit d’amour et de dévouement envers tous et dont l’autorité reçue d’en haut rencontre une adhésion unanime et reconnaissante. Ils rassembleront et formeront toute la grande famille de leur troupeau, en sorte que tous, conscients de leurs devoirs, vivent et agissent dans une communion de charité. Pour en devenir vraiment capables, les évêques « prêts à toute œuvre bonne » (2 Tm 2, 21) et « endurant tout pour les élus » (2 Tm 2, 10), doivent régler leur vie de manière à la faire correspondre aux nécessités de leur temps.
Que les évêques entourent les prêtres d’une charité particulière, puisque ceux-ci assument pour une part leurs charges et leurs soucis et qu’ils s’y consacrent chaque jour avec tant de zèle ; il leur faut les traiter comme des fils et des amis [28], être prêts à les écouter, entretenir avec eux des relations confiantes et promouvoir ainsi la pastorale d’ensemble du diocèse tout entier.
Les évêques doivent se soucier de la situation spirituelle, intellectuelle et matérielle de leurs prêtres pour qu’ils aient les moyens de mener une vie sainte et pieuse et d’accomplir fidèlement et avec fruit leur ministère. C’est pourquoi les évêques encourageront des institutions et organiseront des rencontres particulières, en vue de permettre aux prêtres de se retrouver de temps en temps, soit pour des exercices spirituels prolongés propres à renouveler leur vie, soit pour l’approfondissement de leurs connaissances des disciplines ecclésiastiques, surtout de l’Écriture Sainte et de la théologie, des questions sociales plus importantes, et des nouvelles méthodes d’action pastorale. Les évêques doivent entourer d’une miséricorde active les prêtres qui se trouvent d’une façon ou d’une autre en danger ou qui ont défailli sur quelque point.
Afin d’être à même de pourvoir d’une manière plus adaptée au bien des fidèles, chacun selon sa condition, les évêques s’appliqueront à bien connaître leurs besoins dans le contexte social où ils vivent, et ils emploieront pour cela les méthodes appropriées, particulièrement l’enquête sociale. Ils se montreront attentifs à tous, quels que soient leur âge, leur condition, leur pays, qu’il s’agisse d’autochtones, d’émigrés, de gens de passage. Dans l’exercice de cette sollicitude pastorale, qu’ils réservent à leurs fidèles la part qui leur revient dans les affaires de l’Église, reconnaissant leur devoir et leur droit de travailler activement à l’édification du Corps mystique du Christ.
Avec Brouwet, y avait loin entre le texte et l'exécution, notamment parce qu'il n'est pas fait pour diriger un diocèse. Auxiliaire en région parisienne oui, il aurait été très bien. Mais la Bigorre, maintenant les Cévennes, dire du bien du grand barnum lourdais et de la corrida (Wattebled avait trébuché là dessus et les Nîmois s'en souviennent encore), gérer un diocèse gangrené par la f.m et le PRG (quand ce n'est pas du pareil au même), misère !
Bon courage aux Nîmois et cévenols.
Cela dit il va gagner au change : dans les Cévennes tout est plus clair et ce depuis des siècles.
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