Cela dit, le Pape a raison au moins sur un point : repliée sur elle-même, cantonnée dans ses bien frêles frontières, l'Europe ne sera pas plus forte.

Ce repli est d'ailleurs celui du monde occidental, confronté à la perte de compétences et d'espoir - le décrochage longtemps planqué par la communication autour du high-tech est visible avec les vaccins. Ces derniers, qu'ils soient novateurs avec l'ARN (Pfizer, Moderna) ou plus classiques (AstraZeneca) ne sont pas efficaces et rendent malades, quand ils ne tuent pas.

Le monde entier se rend compte que "le roi est nu", ainsi que les expatriés ou les étrangers d'origine en France, lorsque le pays d'où ils tirent racine a choisi un vaccin non occidental (chinois pour le Maroc et la Turquie, russe pour l'Algérie et la Serbie).

Ce repli est aussi présent aux USA et visible par la montée de la censure sur les réseaux sociaux. Quand l'échec est patent et qu'on n'arrive ni à le cacher, ni à s'en extraire, que les superstructures ne permettent pas de changer d'idéologie et de forme, alors on nie la réalité pour prolonger quelque peu la survie du système déficient. C'est le règne de la censure et des sycophantes.

Aujourd'hui, le rideau de fer et la censure, ce n'est plus à l'Est, mais à l'ouest. L'Archipel du Goulag, c'est nous.

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