Une réflexion sur le sujet

La Tradition de l'Eglise (dans le cas qui nous interress) s'incarne dans des hommes, en l'occurrence les laïcs désignés à l'autel.

Celà provient de ce que représente l'homme dans la société, qui, tel qu'il est construit pat le Créateur incarne l'autorité. Il est le chef de famille. Il est celui qui enseigne, qui travaille quand l'épouse gére le foyer.

Tout du moins, c'était le modèle immémorial établi depuis la préhistoire. C'est le modéle établi et voulu par le Créateur tel qu'il se développe dans l'histoire du peuple juif dans l'Ancien Testament.

Mais il est vrai que la femme acquiert un rôle, une place dans la société contemporaine (depuis les années 60) Occidentale et maintenant qui se développe un peu partout sous l'égide des Organismes mondialistes qui permet à celle-ci de prendre les postes qu'occuppaient les hommes et de les soumettre également à son autorité dans la société : dans les entreprises, dans les armées, dans la vie politiques, etc..

Ce modèles féminin conquiert donc cette autorité... et par la même occasion dépouille l'homme de cet attribut, ce qui d'ailleurs, littéralement , l'émascule.

Cette nouvelle femme donc ne s'occuppe plus des enfants au foyer conjugal. Elle n'en veut d'ailleurs pas ou très peu. Ce modèle de femme incarne une nouvelle société qui n'est plus le modèle voulu par le Créateur dont la perfection s'établit en Marie... Ici, c'est la résurgence de Lilith qui apparaît, cette femme sensuelle, érotisée, qui avorte comme elle le veut , quand elle veut, qui se construit elle-même.. et qui, dans sa détestation de ce que représente l'homme pour elle, a décidé de lui voler sa place

Néanmoins, ce projet de société est aujourd'hui si aboutit qu'on s'imagine mal revenir en arrière

François ne fait-il pas finalement qu'entériner ce phénomène au sein de l'Eglise ?

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