J'attire votre attention sur la conclusion du texte qui n'est que de la vulgaire littérature maçonnique : "[L'idéal de la cathédrale,]c’est voir l’homme comme un simple moyen d’atteindre une fin idéale au lieu de le voir comme une fin. C’est une vision anti-humaniste. Et comme l’humanisme, il faut au contraire opérer un grand retour de l’extérieur vers l’intérieur et permettre à chacun de donner le sens qu’il souhaite à son action, et de cocréer ce sens collectivement, sans considérer comme une nécessité que cela passe par une cathédrale."

L'homme n'est pas sa propre fin et le travail ne permet pas à l'homme de "se découvrir" ou de "s'affiner" comme le pensent les frères trois point tabliers et cie via le "retour sur soi".

La fable (comme il dit) de la cathédrale n'a pas trop de sens sans perspective chrétienne, ou tout du moins celle du bien commun...

L'Église enseigne qu'en travaillant, l'homme participe à l'œuvre de Dieu. A partir de là, la comparaison avec une cathédrale me semble la moindre des choses ; et même cette comparaison n'est pas en mesure de refléter la valeur qu'a le travail aux yeux de Dieu. L'auteur de ce texte ferait bien de méditer la vie de saint Joseph !

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