Il a déjà fait son enquête et confirmé le premier jugement après une investigation... d’une semaine là où il aurait fallu des mois pour interroger tout le monde.
Peu de temps après son élection qui a généré beaucoup d’espoir en son sein, le clergé parisien a vite déchanté et en vient à regretter le départ de son prédécesseur.
Il a en effet fait fort en peu de temps :
Licenciements à des postes clef dans la maîtrise qui ont conduit celle-là à annuler son concert de Noël en protestation.
Perte de la cathédrale dont, en tant qu’affectataire, il partageait la responsabilité avec les pouvoirs publics.
Interventions peu remarquées dans le cadre des évolutions en bioéthique.
Acceptation totalement passive des mesures supprimant les offices publics.
Harcellement des fidèles voulant communier de façon traditionnelle.
Dénonciation publique de ses prêtres et aveux d’impuissance.
Condamnation du « petit businesse » de ceux qui continuaient à aller à la messe.
Sans parler du refus d’accueillir des communautés traditionnelles dans l’archidiocèse : ça devient un cas rare.
On peut donc se demander si l’avis de l’archevêque, s’il en a un, sera crédible.

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