Nous nous sommes mal compris

En appui de votre statistique, j'en donnais d'autres, hiérarchisant les décès et leurs causes (dans une optique catholique puisque j'ai remis en tête l'avortement)

De fait, les décès sont à peu près au même niveau (d'autres études donnent +1% d'augmentation cause COVID, ce qui reste très modeste eu égard à tout le désordre auquel on a eu droit, état d'urgence sanitaire, confinement, privations et tutti quanti)

Il faut simplement ajouter au comput l'avortement

donc 2017 613.000 + 218.000 avortements => 831.000 décès
2018 : 225.000 + 620.000 => 845.000 décès

En fait, si on prenait en compte les études récentes sur l'impact de l'environnement / des modes de vie et de consommation sur les décès, on aurait

- 26% des décès liés à l'avortement
- 23 à 25% des décès liés à l'environnement/consommation/modes de vies (on recase dedans une grande partie des maladies cardiovasculaires, diabètes, respiratoires chroniques comme l'asthme, digestives chroniques comme l'ulcère, la pancréatite etc...)
- 14.5% seraient des cancers (une fois qu'on a déduit les cancers des poumons, thyroides etc. qui sont reliés au point précédent - détails de la mortalité et de l'incidence ici )
- 1.5% sont des accidents divers (domestiques, route etc.)
- 0.8% sont des suicides
- 0.05% sont des pneumonies

1/3 sont des "morts naturelles" ou autres causes

===> on remarque qu'on a 1/4 de décès évitables (avortement) et 1/4 qui pourraient être réduits (amélioration de l'environnement, suppression des perturbateurs endocriniens, modes de vie moins concentrés et plus physiquement actifs, réduction de la pollution...)

A horizon acceptable (10-15 ans le temps que les changements de modes de vie et les politiques pro-vie se mettent en place), on pourrait sauver chaque année l'équivalent de la population de Nantes (300.000 personnes).


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Si on prend l'estimatif officiel (33477 décès Covid en France), ces décès représenteraient 4% du total; si on prend en compte les chiffres "cachés" (à domicile, non déclarés, maisons de retraite, non secourus etc.) en fourchette haute, c'est à dire 15.000 de plus, on arrive à 5.32%

===> partiellement compensés par un hiver très doux cette année
===> partiellement compensés par une grippe saisonnière bien moins dangereuse (mais tout aussi contagieuse)

Ce qui indiquerait
- une surmortalité haute, existante (5% ce n'est pas rien)
- une surmortalité compensée par d'autres baisses de morbidité (liées à l'environnement, tiens)
- une mortalité bien en-deça d'autres causes oubliées ou passées sous silence
- une mortalité bien en-dessous des chiffres balancés dans la presse (56% de surmortalité en Belgique dans la Libre.be il y a 5 jours, tiens)

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