Ça a été l'une des premières choses que j'ai apprise en poussant la porte de St Nicolas il y a longtemps ! C'était avant le déconfinement de la Messe de toujours par Benoit XVI. Je me souviens m'attendre à des vrais durs, résistants de la première heure en milieu hostile. Fermés, aigris, poussiéreux à l'extérieur comme à l'intérieur, mais avec un mental d'acier. Bref, tout pour me plaire.
Mais non ! La porte était ouverte, toutes classes d'âge et toutes couleurs de peau, et ça sentait bon l'encens. Le choc !...
Après, vous êtes dans le vrai. Le racisme est une sorte d'invention bizarre. Qui oblige sournoisement chacun à s'interroger sur la question. A mon sens, ce sont les attitudes et les comportements qui sont plus discriminants que le reste. Les couleurs politiques, les choix de vie. Ainsi que certaines gênes dues à la coexistence d'une grande diversité humaine. Chirac disait le bruit et l'odeur, il n'a jamais parlé de questions raciales.
Bref, le commandement d'aimer son prochain n'est pas le plus facile à appliquer. Les gens ont déjà du mal à accepter leurs voisins, la présence de personnes d'autres communes dans leur église de leur village à eux. Et on s'attend à ce qu'ils soient accueillants par principe avec des inconnus lointains de cultures divergentes ?
Ce n'est pas une question de races, c'est une question d'affinités.
Après, les grands discours généralistes ne sont que du flan. Dénoncer le racisme, mot passe-partout, permet seulement à certains de s'acheter le passeport de la respectabilité mediatico-maçonnique. Il faut désormais être pour ou contre, on ne peut pas être seulement indifférent à leurs lubbies raciales, c'est désolant.
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