et mon admiration.

Il faut aller au feu et aussi montrer à cette dame d'un âge canonique que ses outrances de jeunesse doivent un jour se calmer.

Quand vous mettez Charlotte d'Ornellas ou Eugénie Bastier à côté d'Isabelle de Gaulmyn, la comparaison est cruelle aussi bien quand on ferme les yeux que lorsqu'on les ouvre.

Si j'étais de mauvaise foi (si…) et misogyne (si…), je dirais, après d'autres, que certaines portent la laideur de leurs idées sur leur tête et leurs habits. Je précise que des dames de mon entourage le pensent aussi…

Les vieilles mauvaises qui dirigent les établissements scolaires pourraient se prendre des leçons de féminisme de jeunes femmes de 20, 30 ou 40 ans…

Je connais des femmes procureurs, avocats (maîtresse !), conservateurs, maîtres de conférence ou professeurs qui prennent pour une insulte à la langue française si l'on vient à féminiser à outrance leur profession.

La dame veut engager la guerre des sexes, euh, des genres, c'est plus intello. Elle veut surtout exister encore un peu. La patronne de Témoignage chrétien est du même genre. Son grain de beauté ne me fait pas penser automatiquement à Cindy Crawford.
Elles ont dû passer des heures dans leur jeunesse devant "Les oiseaux se cachent pour mourir". Je voudrais aussi savoir ce qu'il en est de leur vie familiale, si famille il y a, désolé. Le degré de pratique des enfants, la position du mari, si mari il y a. Autant qu'on sache qui on devrait loger à l'évêché. A Orléans, une déléguée épiscopale du même tonneau vit, je crois, dans un presbytère et fait l'admiration de l'évêque quand elle met en cause les mœurs des prêtres à raison de 10% de déviance dans tout presbyterium (c'est prouvé par cette autre théologienne).
Pour ma part, je crois qu'il y a 10 % d'hystériques et de vieilles mauvaises déviantes chez les femmes de plus de 65 ans.

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