Il s’agira donc d’être pragmatique :
« Les mesures seront adaptées à la configuration des églises . Certaines sont plus ou moins grandes , certaines ont des bancs , d’autres des chaises »
« Il y aura des marquages au sol . Monseigneur Blanchet recommande le port du masque des prêtres comme les fidèles »


Nb : Ceci en vertu des directives gouvernementales , les réflexes à adopter, les gestes barrières à adopter , car elles ne font qu'un à l’intérieur des églises …

Car :

« Quand on chante , on postillonne » Pour l’éviter , il faudra être masqué. C’est peut-être moins joli , mais c’est une protection nécessaire »
Nb :
Y a pas que les postillons à retenir , mais quand même le Psaume 96:
1Chantez à l'Eternel un cantique nouveau! Chantez à l'Eternel, vous tous, habitants de la terre! 2Chantez à l'Eternel, bénissez son nom, Annoncez de jour en jour son salut!

Bon priorité aux postillons …

Important :
Le rite de la communion eucharistique est à réinventer . Des précautions particulières s’imposent , de la bénédiction à la s=distribution des hosties . Par temps d’épidémie , il est inenvisageable que le prêtre pose les hosties directement sur la langue ou la main des fidèles .Parmi les solutions ? La pince à sucre !


Petite remarque :
Sans aller prendre une pince à sucre, il suffit de le faire à la cuiller (grec ancien : Κοχλιάριον, kochliarion ; slavon d'église : Лжица, Ljítza)
C’ est l’objet de distribution de la sainte communion utilisé dans les Églises d'Orient — Églises orthodoxes et Églises catholiques de rite byzantin —Pour déposer sur la langue …

Autre et Historique Wikipédia :
Dans l'Église primitive, la communion était distribuée à tous, clercs et laïcs, de la même façon : chacun recevait le pain consacré en main et le plaçait lui-même en bouche, puis tous buvaient au même calice.
Avec le temps, cependant, on craignit que quelques miettes du pain bénit tombent au sol ou que quelques gouttes de vin consacré se perdent. On utilisa alors des pincettes avec lesquelles le pain et le vin étaient mêlés et ce mélange précautionneusement placé dans la bouche du communiant. À partir du IXe siècle, on commença d'utiliser une cuiller pour le même usage et pour les mêmes raisons, le clergé, toutefois, continuant de recevoir la communion selon la coutume antique auprès de l'autel.

Nb: donc il n'y a rien à réinventer ….Ni allez chercher la lune !

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