Le délire actuel de certains de nos évêques en lien avec le risque (avéré ?) de transmission d'un virus par communion sur la langue me semble plus relever de l'idéologie que d'une réelle précaution de bon sens. Je les trouve par là, en quelque sorte, héritiers des évêques jureurs, mais là n'est pas mon propos. J'ai dans l'idée d'écrire au mien une supplique pour lui demander de lever cette ridicule (et illégale) interdiction de communier traditionnellement, mais ne sais trop comment rédiger ladite supplique. Il ne s'agit pas, bien sûr, de pétitionner, mais bien de supplier, comme un enfant vers son père. Je n'ai pas de grand espoir quant au résultat, mais suis convaincu que la seule bataille perdue d'avance est celle que l'on ne livre pas.
Si quelque liseur qualifié ou astucieux a des idées d'éléments de langage à reprendre, ainsi que de formules à la fois courtoises et respectueuses sans être obséquieuses ni empesées, je suis preneur.
Pour me présenter, je pense faire état de ma qualité de catholique baptisé et confirmé, et père de famille, sans plus.
J'ai volontairement ouvert un nouveau fil sur le sujet, pour ne pas perdre les éventuelles réactions dans le très long fil ouvert sur un sujet très proche.

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