Pouvait-il seulement le faire ?
On voit une constance des papes au Moyen-Age dans les différents conciles, ou pseudo-conciles/synodes, pour lutter sans relâche contre les prêtres et les évêques qui entretiennent des concubines.
Certains ont des enfants, eux-mêmes clercs puis prêtres puis parfois évêques. Il y avait des interdits sous peine d'anathème pour ceux qui assistaient aux messes de ce genre de clergé. Bien évidemment ça passait au dessus de la tête de la plupart, jusqu'à ce qu'avec les siècles, et l'instruction du haut clergé, le but soit atteint.
Si un pape conteste la constance des conciles passés, pouvons-nous dès lors considérer que ces grands rassemblements épiscopaux ne sont que des réunions de confrères à prendre avec tout le recul nécessaire ? Dans ces circonstances, c'est le relativisme qui prend le pouvoir.
Que faire, si ce n'est regarder stoïquement l'agitation dans notre Eglise avec un sourire en coin ? Nous savons bien ce qui serait juste et droit, après tout. Et nous ne sommes plus à une persécution ou maladie ecclésiale près.

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