L'une cherche à faire valoir un droit devant le juge, mais elle n'a cure de l'objet de la justice, la vie de l'enfant, et se satisfait du premier verdict qui lui donne malgré tout raison.
L'autre préfère l'objet de la justice, l'enfant, au mépris de la justice qui l'en sépare mais qui préserve sa vie.
J'aurais tendance à rapprocher ce passage de la méditation de S. Jean de la Croix : "Au soir de notre vie, nous serons jugés sur l’amour." car dans ce passage c'est effectivement sur ce critère de l'amour qui sacrifie à l'autre ce qu'elle a de plus cher qu'est jugée la vraie mère.
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