S'il est aussi vrai qu'il est pour le célibat sacerdotal obligatoire qu'il est débiteur de la théologie Wojtylienne, ainsi qu'il le dit aussi dans le livre en question, nous ne devons pas être rassurés, puisque tout en se proclamant fidèle à l'enseignement étique de Jean-Paul II, il s'est employé soigneusement à le démolir subrepticement dans Amoris Laetitia et la transformation de fond en comble de l'institut Jean-Paul II. Et on voit le désordre qui s'est ostensiblement installé,suite à cela, chez des cardinaux, des évêques, des prêtres, et dans les médias catholiques sur les questions morales.

Je crois qu'il ne faut jamais perdre de vue les présupposés de sa pensée, en particulier le hiatus qu'il met entre la doctrine et la pastorale, au nom du primat du temps sur l'espace.
Il est quant à la doctrine favorable au célibat sacerdotal, et jamais il ne se présentera devant Dieu comme celui ayant aboli, mais c'est toutefois bien lui qui a envisagé explicitement, aussitôt après cette affirmation, les exceptions « dans les régions lointaines", et qui a mis cela à l'ordre du jour du synode d'Amazonie.

Je voudrais bien me tromper ...

Cordialement

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