La réponse, aberrante et proprement effarante, de l'évêque émérite mexicain illustre très bien la totale confusion d'esprit qui conduit ce prélat, né et formé dans le catholicisme - il dit avoir été choqué de l'adoration des idoles Pachamama plus jeune -, à adhérer à la nouvelle religion amazoniste où tout est possible par subjectivisme.

"Il y a des années, lors d’une réunion du CELAM que je devais coordonner à Cochabamba, en Bolivie, sur les différents noms de Dieu dans les cultures originaire du Cône Sud, j’ai demandé à un indigène Aymara si, pour eux, la pachamama (terre mère) et le inti (père soleil) sont des dieux, et il a répondu: « Ceux qui n’ont pas reçu l’évangélisation les considèrent comme des dieux. Pour nous qui avons déjà été évangélisés, ce ne sont pas des dieux, mais les meilleurs dons de Dieu ». Merveilleuse réponse! Voilà ce qu’ils sont! Ce sont des manifestations de l’amour de Dieu, pas des dieux."

Si on suit cet évêque tout est subjectif : j'adore une idole physiquement mais si je déclare "non ce n'est pas une idole", l'acte objectif disparaît.
Je fraude le fisc mais si je dis à l'inspecteur que c'était dans mon esprit un acte de charité alors il n'y a pas fraude mais "manifestation de l'amour de Dieu" !!!
Je doute que la folie conceptuelle de Mgr puisse convaincre le fisc de ne pas me poursuivre pour délit.
Le subjectivisme absolu dans la vraie vie Monseigneur, ça n'existe pas.

Pour rappel : les pires tyrans ont le plus souvent déclaré faire le bonheur de leur peuple.

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