Ce n'est plus de notre incorporation au Christ dont il est question, mais d'une certaine divinisation de la nature (pas seulement humaine, mais celle qui touche le minéral et le végétal).
Il n'est plus question d'un quelconque caractère propitiatoire par rapport à nos péchés ou même d'une action de grâce des hommes, mais d'une vision panthéisante.
Le Christ disparaît de cette conception: il n'est pas cité dans le paragraphe que vous reproduisez. Et ce qui est grave est aussi l'absence totale de vision du péché originel dans cette vision amazonienne...
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