Pèlerinage à Rocamadour
Pour la fête de l’Assomption de la Vierge Marie
Les 14 et 15 août 2019
« Sur le chemin de Compostelle, un haut lieu de pèlerinage, une rencontre avec Notre-Dame de Rocamadour et un message d’espérance.
Aujourd’hui, nombreux sont encore les pèlerins qui rejoignent la cité mariale pour prier Notre-Dame de Rocamadour. Accroché à la falaise, surplombant l’impressionnant canyon de l’Alzou, le Sanctuaire invite au ressourcement et à espérer un miracle, témoignage de la présence de la Vierge Marie.
Depuis le hameau de l’Hospitalet, sa chapelle et les ruines de l’ancien hôpital qui accueillait au XIIIe siècle les pèlerins fatigués par leur longue marche, on rejoint la Voie Sainte. De là, s’expose dans son entier la cité de la foi, verticale et suspendue.
En chemin vers la Chapelle Notre-Dame, après avoir franchi une première porte médiévale, on traverse la rue étroite de la cité commerçante. Le grand escalier est le dernier effort avant d’atteindre le parvis du Sanctuaire. Sur l’esplanade, sont dispersées, même superposées parfois, 7 chapelles évoquant les 7 sacrements de la religion catholique. Saint Jean-Baptiste pour le baptême, saint Blaise pour la miséricorde, la Chapelle sainte-Anne pour le mariage, la Basilique saint-Sauveur, la Chapelle semi-troglodytique saint-Michel pour le jugement dernier, et la Chapelle saint-Louis ( ou de l’ovalie en l’honneur du sport local : le rugby ).
Dans la Chapelle Notre-Dame, on s’arrête pour prier la Vierge Noire, statue en bois sculpté de la vierge noircie par le temps. L’enfant Jésus assis sur son genou gauche, elle laisse libre le droit pour accueillir ceux qui la sollicite. Ici, dans une lumière fragile, le pèlerin pose son regard sur ce qu’il a en son cœur (parfois même sur le cœur !) en quête d’apaisement.
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Pierre.
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