Astreint à la récitation de l'office divin, vous pouvez choisir celui qui vous convient.
Tout au plus peut-on considérer qu'il est plus logique de suivre le bréviaire romain qui est le bréviaire "de droit commun" (encore qu'on est dans une forme décrétée "extraordinaire"), à moins que vous ne soyez oblat d'une abbaye bénédictine. Par ailleurs, si vous assistez à la messe en dehors d'une abbaye et dans la forme extraordinaire, le bréviaire romain est celui qui correspondra qu missel que vous suivez : plus grande cohérence.
D'un autre côté, l'office bénédictin est plus traditionnel (car l'ordre de ses psaumes n'a pas été changé sous Pie X, ni le texte de ses hymnes sous Urbain VIII). Si ce critère a une importance pour vous, vous pourriez préférer le bénédictin.
Il est aussi plus facile à manier pour les complies (et les petites heures du mardi au samedi, car les psaumes sont les mêmes chaque jour et finissent par être sus par coeur. Les vêpres n'auront que quatre psaumes (cinq dans le rite romain).
Je n'évoque pas les matines, puisque vous nous parlez ici du diurnal.
1960 (pour l'office romain) et 1963 (pour le bénédictin) corresponde aux années des éditions typiques, maos cette information n'aura pas trop d'importance dans votre choix.
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