Qu'un clerc, fut-il évêque, commette de tels gestes, c'est déjà un grave motif de sanction.
Mais si c'est un diplomate, je ne comprends pas qu'il reste en poste.
Qu'un nonce, doyen du corps diplomatique, fasse de tels "gestes particulièrement déplacés" (cette appellation me semble plus juste que "agressions sexuelles"), cela semble dénoter un certain manque de jugement de sa part, non ?
Ne sera-t-il pas la risée de tous les autres diplomates ?
Je ne comprends pas qu'on lève son immunité, et qu'on le garde en poste.
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