ces cantiques naïfs et charmants peut-être, à la valeur musicale faible, et théologique quasi-nulle, auraient dû et devraient rester rester au patronage, au catéchisme etc... et ne jamais pénétrer dans le cours de la liturgie proprement dite.
C'est de leur intrusion (bien avant le concile) et de leur généralisation progressive que découlent les quantités ahurissantes de mièvreries et laideurs actuelles.
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