...que la réception de la communion en dehors de la messe suppose, surtout dans le nouveau rite, une cérémonie un peu développée, avec préparation pénitentielle, lecture de l'évangile...
Donc, pour eux, cet argument ne vaut pas pour quelqu'un qui arrive très peu de temps avant la communion.
Ce que je recherchais, c'était des textes de référence.
L'argument "un prêtre très sûr disait que" est un peu léger face à des confrères prêtres.
Ma question ne concernait pas la validité de l'assistance à la messe "d'obligation", mais seulement la possibilité de recevoir la communion malgré une arrivée très tardive.
On peut imaginer des cas où les deux questions se recoupent, par exemple :
Cas n° 1 : à cause d'un fichu changement d'heure hiver/été, un excellent paroissien qui voulait assister à la messe de 11 h arrive à 9 h 50, juste à temps pour la communion : or le droit actuel de l'Eglise prévoit qu'on peut communier deux fois, à condition que ce soit pendant la messe (c. 917 ; deux fois, mais pas trois, comme une réponse officielle à un dubium le précise). Cet excellent paroissien peut-il communier ?
Cas n° 2 : il est pris par un embouteillage, et sans qu'il y ait la moindre faute de sa part, il arrive très en retard à la dernière messe de la journée. Peut-il communier quand même ?
J'avais posé à de jeunes confrères la question du moment d'arrivée pour la "validité" de l'assistance à la messe (si on arrive très en retard à la messe de 9 h, est-on tenu ou non d'assister à la messe de 11 h ou de 18 h ?) Eh bien non seulement ils ne connaissaient pas la réponse, mais ils ne comprenaient pas la question !...
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